Madame, chère Catherine, vous que je ne connais pas, toi qui est comme moi,
si je prends la plume aujourd’hui c’est parce que je suis à bout. Au bout. Au bout de quoi ? Je ne sais même plus. Si je vous écris, comme ça, un verre de blanc à côté (il est 14h31), un paquet de mouchoirs, faute de cigarettes, et un vide dans le cendrier (j’ai le choix entre le cannabis ou les anxiolytiques…), c’est que je ne sais plus vers qui me tourner ni quoi faire.